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Page:Cheikh Nefzaoui - Le parfum des prairies (le Jardin parfumé), 1935.djvu/255

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LE JARDIN PARFUMÉ

dont la publication nous paraît devoir compléter ce volume.

Ce sont, dans l’ordre :

1o La note de Charles de Lasalle qui termine notre manuscrit.

2o La Notice du Traducteur sur le Cheikh Nefzaoui, qui précède l’édition autographiée de 1876.

3o La Postface : « Au Lecteur » de la même édition autographiée.

Comme nous l’avons écrit dans l’Avertissement placé en tête de ce volume, la traduction parlée de la Mauresque Néfissah, rédigée en français par Antonin Terme, nous semble serrer de plus près le texte arabe que celle du Commandant Maréchal.

Ce n’est pas que nous croyons à un texte arabe unique et invariable. Comme tous les contes orientaux, il est probable que le Parfum des Prairies s’est transmis surtout par la tradition orale et que les manuscrits représentent des copies exécutées de mémoire.

D’où l’existence possible de textes arabes différents.

On remarquera cependant que les deux traductions — car la version Liseux n’est qu’une variante de la traduction Maréchal — suivent un même plan, avec les mêmes chapitres et, dans chaque chapitre, les mêmes histoires.

Quoi qu’il en soit, il nous semble que la version