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Page:Contes chinois publies par Abel-Remusat, 1827, tome troisieme.djvu/45

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été forcé de se défaire de son jardin, car c’était un embarras de moins, mais il ne souffrit pas non plus de la violence de son voisin. Nous verrons dans le chapitre suivant quelle était la sécurité dont il pouvait jouir dans son habitation.