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Page:Contes chinois publies par Abel-Remusat, 1827, tome troisieme.djvu/46

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CHAPITRE II.


N’étant ni un voleur, ni un receleur de vols, il arrive tout-à-coup à la possession d’un trésor considérable. La maison et ceux qui l’habitent retournent à leur premier maitre.


Après que Yo-tchouan et son fils eurent acquis cette maison et ces jardins, le goût de l’homme riche se montra, comme on peut le penser, différent de celui de l’ancien propriétaire, et il voulut à son tour y faire des changemens. Il n’était pas question cependant de