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Page:Contes chinois publies par Abel-Remusat, 1827, tome troisieme.djvu/77

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vous maintenant, et attendez chez vous que j’aie eu une entrevue avec le Tchi-hian. Je l’inviterai à examiner soigneusement cette affaire, afin de pouvoir prononcer un jugement équitable. Si l’accusation n’est point fondée, votre mari recouvrera sa liberté, et sans doute on ne le mettra pas à mort injustement. »

À ces mots la femme se réjouit extrêmement, et après lui avoir fait mille remercîmens, elle partit.

Le lecteur ignore encore d’où le mal était provenu, et si la vérité fut ensuite connue. Il saura tout cela dans le chapitre suivant, s’il veut se donner la peine de le lire.


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