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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/135

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rebondi, replet, et il va certainement s’en donner à cœur joie.

Il prend la fille de chambre sous son bras et commence comme toujours par le même procédé, d’abord par une fessée indulgente, qui lui permet de caresser le satin qui recouvre la surface, puis quelques claques plus sévères, et enfin les cinglées entre les cuisses.

Ici la fessée continua avec la même indulgence jusqu’à la fin, c’était bien plus des caresses que des gifles. Et quand vint le tour des cinglées entre les cuisses, il lui en donna cinq ou six, pas bien fortes mais il laissa sa main plus longtemps sur la fente. Nous pensions qu’il ne la ménageait que pour lui faire mieux sentir les verges.

Il fit signe à la jeune barine de venir lui tenir la patiente. Il se dirigea vers la table où se trouvent les divers instruments de torture, et quand nous pensions qu’il allait choisir une longue et forte verge, qui était ce qui convenait à ce gros postérieur qui s’étalait large et renflé en face de nous, à notre grande surprise, car il prenait toujours des verges pour les grosses