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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/205

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pagnait ses clientes. Quand elle revint, ces gémissements lui déchiraient le tympan. Elle l’envoya se coucher sans souper. Avec la façon dont la jeune fouetteuse lui avait cinglé les fesses et l’entre-cuisses, elle ne l’aurait pas gagné de sitôt, elle n’était pas près de se taire.

— Çà t’apprendra, ma fille, à étriquer les costumes des jeunes demoiselles. Tu sais que je ne pardonne jamais de pareilles négligences.


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