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II
AMOURS PRINTANIERS.
epuis que la marquise de L. était
venue nous relancer dans l’atelier,
Nadine et moi, chaque fois qu’on lui portait
un essayage chez elle, elle ne manquait
jamais de faire monter les ouvrières dans
sa chambre, où elle les fouettait à tout
propos, les renvoyant presque toujours les
fesses endommagées. Elle gardait l’objet,
mais c’était pour le rapporter dans l’après-midi
sur le siège de son coupé avec le
jeune groom assis à côté du cocher. Elle