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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/240

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qu’elle n’y était pas seule, quand la prison s’illuminant soudain devint un charmant boudoir. Elle aperçut deux hommes, l’un jeune tout nu, avec un gros priape qui se balançait menaçant entre ses cuisses. Le vieux monsieur grisonnant était enveloppé d’une houppelande en flanelle.

Ce fut le vieux qui la mit toute nue. Le jeune homme la prit dans ses bras, l’emportant vers le lit, et malgré la douleur lancinante de ses fesses, il la posa en travers, et la viola après une lutte acharnée et sanglante, qui dura cinq minutes pendant lesquelles elle souffrit le martyre.

Le vieux monsieur se porta aussitôt entre ses cuisses, les deux pans de sa houppelande entr’ouverts. Le jeune homme l’aida à le loger dans l’arène sanglante, qu’il laboura pendant dix minutes avant de décharger. Ce petit outil voyageant dans les parages déchirés lui causait une véritable torture.

Il la fit ensuite enculer par le jeune homme qui lui fit un mal de diable, en enfourrant son gros engin dans cette toute petite embouchure. C’était son valet de