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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/301

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Je m’approchai du fauteuil. Elle me posa en travers de ses cuisses, les pieds et la tête dans l’espace, releva ma jupe courte avec mes dessous, découvrant mon postérieur et mes cuisses, qu’elle palpa dans tous les coins. Puis elle m’appliqua cinq ou six claques sur les fesses, et autant sur les cuisses.

Ensuite elle me prit par les jambes, me fit basculer la tête en bas, les dessous retombés, je dus m’appuyer sur les mains. Elle écarta mes jambes, les ramenant brusquement cinq ou six fois, faisant claquer les talons sans doute pour plonger dans mes cuisses, et comme nous ne portons pas de pantalons, ce serait gênant pour la fessée et pour autre chose, elle put se régaler tout à son aise. Elle me reposa sur les pieds.

— Suis-moi, me dit-elle.

Je sortis sur ses pas. Elle me conduisit dans sa chambre à coucher, où elle me fit déshabiller. Quand je fus toute nue, elle s’assit dans un fauteuil, les fesses sur les bords, se troussa, et me montrant son gros chat roux, parsemé de poils gris, elle me