Aller au contenu

Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/302

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 132 —

dit de m’agenouiller, d’écarter les lèvres de son con, de l’embrasser, et de lécher ce que je trouverais à l’entrée sur les bords.

— Et tache de te bien comporter, ou si non je t’encouragerai avec ceci, dit-elle en brandissant un martinet de douze branches de cuir. Je t’ai fait mettre toute nue pour pouvoir te distribuer plus facilement les encouragements sur tout ton corps. Allons, à l’ouvrage !

Je dus écarter les poils et prendre les grosses lèvres ridées dans mes doigts. Le bas de la toison était humide, le clitoris suintait. Je fermai instinctivement les yeux, quand je posai mes lèvres et ma langue sur ce con qui sentait le rance, bien que j’en eusse déjà léché à dix ans. Mais c’était le conin d’une jeune barine de quatorze ans, encouragée par les claques que m’appliquait sur les fesses sa noble mère, à laquelle la mienne m’avait louée pour un an. La maman ne manquait jamais de m’offrir son chat à bouffer le matin, sans compter les revenez-y de la journée, mais ils étaient propres et parfumés.

J’avais la figure enfouie dans la toison,