avec la sous-maîtresse des exigences révoltantes. Chaque fois qu’elle la fouette ainsi, elle se met sur le vase.
Quand elle en sort, et que ses fesses ridées émergent au-dessus du pot de chambre elle crie : « Ici Mirza ! » comme si elle s’adressait à une chienne. Et Miarka vient faire Mirza, léchant avec des nausées le trou du cul foireux, avec le fumet qui monte du vase à son nez.
Tu as vu qu’elle emportait les orties dont elle s’est servie, elle en a pourtant presque toujours dans sa chambre. Eh ! bien, c’est pour l’encourager à faire la chienne, si l’odorat venait à lui manquer. Elle la fouette entre les cuisses, jusqu’à ce que les lèvres soient gonflées, comme des mamelons de pucelle, qui l’obligent à se tenir les jambes écartées, et qui sont tellement serrées, que le pipi, qui ne peut plus sortir suinte sur les cuisses.
C’est d’ailleurs par ce procédé qu’elle la força à lui servir d’essuie-cul. Le premier jour, Miarka s’y refusa obstinément. Elle sonna, une servante entra.
— Va me cueillir un paquet d’orties.