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Page:Driant - L’invasion noire 2-grand pèlerinage à la Mecque,1913.djvu/230

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— Moi, je sentis l’eau me monter à la ceinture. Le pont avait disparu, les cris diminuaient ; je songeais à ma confession dernière, lorsqu’un jet de lumière, sans doute parti d’un vaisseau turc, vint illuminer la scène. Ce n’était pas beau ; des têtes, des bras émergeant des vagues, puis la chaudière faisant explosion au contact de l’eau, car l’une d’elles était toujours sous pression.

Sur notre gauche les explosions continuaient comme un