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Page:Dumas - Mes mémoires, tome 10.djvu/318

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MÉMOIRES D’ALEX. DUMAS

chant l’épée de M. Roux-Laborie, se donnèrent cette preuve d’estime dont je parlais à Beauchêne, et que l’on se donne entre ennemis, à défaut d’une preuve d’amitié.

Et, maintenant, nous demandons à nos patients et fidèles lecteurs la permission de clore provisoirement ici la série de nos Mémoires. Plus tard, — si l’accueil qui leur est fait répond à notre attente, et que Dieu veuille bien nous prêter vie, — nous reprendrons notre plume de chroniqueur, avec l’espoir de fournir de nouveaux et curieux matériaux à l’histoire véridique de notre temps.


FIN