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Page:Duplessis - Aventures mexicaines, 1860.djvu/295

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III

Rafael Quirino avait eu raison de me dire « qu’une fièvre prise à temps est plutôt un avertissement qu’une maladie, » car je me trouvai le lendemain tout à fait rétabli.

Je lui fis des reproches sur son imprudence d’avoir passé la nuit à la belle étoile.

— Si vous connaissiez mieux les Gambusinos, vous ne me parleriez pas ainsi, — me répondit-il. — Le Gambusino a besoin de voir et d’entendre ce qui se dit et se fait autour de lui, et pendant son sommeil,