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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/201

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gueux de Wesiminster, je devine le tigre de Tanger !… Percy, mon fougueux et implacable Percy, je ne serai pour toi ni le sot parvenu, ni le bourgeois ridicule !… Je resterai ton vieux Jim… Notre alliance dure toujours… je ne saurais t’exprimer la joie que me cause ta présence à Londres !… Écoute-moi à ton tour, et tu verras si tu dois, oui ou non, compter sur mon amitié.

Le grand juge au banc du roi remplit d’un généreux vin d’Espagne son verre et celui de Kirke ; puis, après avoir bu tout d’un trait le contenu de sa coupe :

— Mon fidèle Percy, dit-il d’un air de