Aller au contenu

Page:Eliot - Daniel Deronda vol 2&3.djvu/387

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Enfin elle s’endormit, et, quand elle se réveilla le lendemain matin, elle vit sa mère et lui dit tendrement :

— Ah ! pauvre maman !… vous m’avez veillée ! vous êtes restée près de moi !… Ne soyez pas malheureuse… Je vivrai… Je serai meilleure…