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Page:Féval - Les Habits noirs, 1863, Tome II.djvu/419

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Tout à coup, cependant, une rumeur sinistre courut comme un frisson. Deux hommes venaient d’aborder, la pâleur au front, ce haut personnage à qui nous avons gardé l’incognito.

Puis on entendit ces paroles qui allaient et venaient :

« M. Schwartz est mort. Les Habits Noirs… »

FIN DE LA TROISIÈME PARTIE.