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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/174

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monsieur, et dont je pourrais vous faire repentir.

— Je savais qu’il était votre rival, milord, et je voulais…

— Les gens qui me servent n’ont plus de volonté, monsieur.

— Eh ! milord ! dit le docteur avec un geste d’impatience, — vous êtes puissant, nous le savons ; mais les besoins de l’association demandent impérieusement ce mariage, et je suis lord de la nuit, tout comme Votre Seigneurie.

— Tout comme moi ! répéta le marquis avec un suprême dédain.