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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/175

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— Pardon, milord… tout comme vous.

Le docteur redressa une seconde fois sa raide taille, et rassembla tout son sang-froid pour relever les yeux sur Rio-Santo.

Il trouva le regard de ce dernier fixé sur lui et si plein de hautaine menace, qu’il perdit de nouveau contenance.

— Vous le savez, milord, reprit-il en donnant à sa voix une subite expression d’humilité, — nous avons mis en vous une confiance illimitée. Nos règlements ne vous lient pas ; vous avez des droits et pas de devoirs. À Dieu ne plaise que j’aie la prétention de me dire votre égal ! mais je vois ce mariage vous échapper… et je ne connais point dans Lon-