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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/345

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sauvage aussi et qu’elle avait peur à la vue d’une étrangère…

J’étais trop enfant, n’est-ce pas, milord, pour inventer de pareils détails ? Tempérance et mon père m’ont trompée. J’ai vu cette femme ; j’ai senti Corah tressaillir : ce n’était pas un rêve !

Le regard de Susannah se releva sur Brian et interrogea son visage.

— Comme vous eussiez aimé votre mère ! murmura Lancester avec émotion.

— Vous pensez donc que c’était un rêve ? demanda tristement la belle fille.

— Je pense que Dieu a été miséricordieux