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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 09.djvu/222

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avoir deviné la coquetterie. Ses beaux cheveux se bouclaient maintenant avec grâce autour de ses tempes, et sa robe, autrefois si chastement agrafée, montrait, par négligence peut-être, les blanches promesses d’une gorge de vierge.

Chaque soir, avant de partir, elle consultait plus d’une fois le petit miroir suspendu au mur de la chambre commune.

Une fois, Fergus revint après sa tâche achevée et ne trouva point sa sœur de retour. Fergus aimait Betsy passionnément.

Mistress O’Breane était inquiète. Chrétien souffrait plus que d’habitude.