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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/139

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— Viens là !…

Mademoiselle de Verneuse, écarta les jambes en s’enfonçant dans le fauteuil, puis faisant agenouiller le jeune homme devant elle, elle lui attira la tête sous sa robe retroussée.

Roger frémit alors en frôlant des lèvres les cuisses de la jolie fille… Elle, de la main, le guide vers les profondeurs soyeuses en écartant le linge, et soudain il se sent en contact avec quelque chose qui lui chatouille agréablement la bouche, cependant qu’un subtil parfum sexuel commence à l’enivrer.

Le jeune homme sent bien que ses lèvres sont assez loin des fesses de Colette posées sur le fauteuil, il en touche néanmoins la naissance, de chaque côté de la