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Page:Gorki - Contes d Italie.djvu/96

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CONTES D’ITALIE

La femme souriait ; les rois, les princes, les chefs d’armée et les autres enfants, tous souriaient en la regardant, elle, la Mère.

Ceci est la vérité ; tous les mots tracés sur ces pages sont la vérité ; nos mères le savent ; interrogez-les, et elles vous diront :

— Oui, c’est la vérité éternelle ; nous sommes plus fortes que la mort, nous qui donnons sans cesse au monde des sages, des poètes et des héros, nous qui semons en lui tout ce qui fait sa gloire !