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Page:Hess - La Vérité sur l’Algérie, 1905.pdf/239

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lire entièrement pour savoir comment l’Algérien comprend « l’art et la manière » de mener les femmes de son pays.

C’est d’un M. Joderlos qui intitulait cette épître aux Algériennes : « Nouvel appel aux femmes. »

« La femme étrangère qui n’est pas fille d’Israël est une bête. » (Talmud. Trad. Sanhédrin. F, 52, 2.)

« Voilà un article du livre sacré des juifs que toutes les femmes européennes qui vont encore acheter chez les youpins feraient bien de méditer, avant de pénétrer dans les immondes ghettos où on les vole et où on les salit. Oui, femmes françaises et autres, pour les youtres ignobles, vous n’êtes que des bêtes, que des machines à plaisir faites pour rassasier leur lubricité de verrats en rut. Chaque fois que vous allez chez ces êtres visqueux, vous en sortez avilies, souillées, car le juif, en contact avec une Européenne, se fait bouc, singe et pourceau.

« Il s’arrange toujours pour vous toucher de ses doigts crochus, pour vous dire quelque grosse fadaise, quelque galanterie bête et sale avec des mines d’ours mal léché.

« Il ne respecte rien, pas même les toutes jeunes filles, pas même les enfants. Considérant toutes les femmes non juives comme des bêtes, il les traite comme telles et les regarde comme une pâture destinée à exciter et à calmer ses instincts libidineux, ses passions bestiales, ses désirs lubriques.

« La vue, le contact d’une femme européenne, le fait renâcler, baver, s’ébrouer et se trémousser comme un baudet, et la femme qui sort de chez un juif est comme la fleur sur laquelle a rampé un vil colimaçon, salie, souillée, tachée.

« Timide, obséquieux, humble avec les hommes, il est orgueilleux, prétentieux, fanfaron avec les femmes, aimant à se poser en don Juan, en Lovelace.

« Il se vante de ses bonnes fortunes et a l’impudeur de proclamer bien haut que les complaisances qu’il obtient des femmes européennes le consolent du mépris qu’ont pour lui les hommes.

« Une telle insolence de la part de ces misérables, rebut de toutes les nations, exutoire du monde entier, n’est-elle pas ignoble, et ne sommes-nous pas des lâches de la supporter ?

« S’il est encore des femmes européennes assez peu respectueuses d’elles-mêmes et de nous pour aller se fourvoyer dans les antres juifs, l’heure n’est-elle pas venue pour nous,