Aller au contenu

Page:Jarry - Les jours et les nuits, 1897.djvu/166

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

iv
le tain des mares

Le clocher est semblable à un peuplier.
À la cime perche la Sainte dorée
Dans l’ombre, rose des vents mélancolique
Avec sa Fille, et sous leurs pieds les Reliques.

Sengle avait été conduit tout petit enfant à ce pèlerinage de Sainte-Anne, et en gardait des souvenirs qui étaient plusieurs.

D’abord, c’était le plus long voyage en chemin de fer qu’il eût fait, d’autant