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Page:Jarry - Les jours et les nuits, 1897.djvu/284

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ix
selon monsieur prud’homme

Nous avons demandé à Monsieur Prud’homme la fin de l’histoire de Sengle, ses Mémoires lucides s’arrêtant là.

Réponse : « La vieillesse est le leitmotiv de l’enfance, les contraires sont identiques, etc. »

Monsieur Ribot a déjà physiologiquement expliqué la même chose, et nous savons que Sengle vivait (et mourrait, en vertu des belles phrases ci-dessus) de souvenir :