Aller au contenu

Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 4.djvu/669

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

l’angle soit droit, ce qui donne et par conséquent 2o que l’on ait, en général, ce qui donne 3o que l’on ait aussi, en général, ce qui donnera Si donc on fait ces substitutions, et qu’on mette à la place de et de leurs valeurs en du no 19 ; que de plus on change en en en et en ce qui est évidemment permis, puisque sont des constantes arbitraires ; et qu’on fasse, pour abréger,

on aura

Dans ces formules est la longitude d’un méridien quelconque, le complément de la latitude d’un parallèle quelconque sur la surface de la Terre, l’excentricité des méridiens de la Terre ; sont quatre constantes arbitraires ; sont l’abscisse et l’ordonnée qui déterminent sur la Carte la position d’un lieu quelconque dont la longitude est et dont le complément de la latitude est est le rayon du cercle qui représente un méridien quelconque et dont le centre doit être placé dans l’axe des ordonnées à la distance de celui des abscisses ; est le rayon du cercle qui représente un parallèle quelconque, et dont le centre doit être placé dans l’axe des abscisses à la distance de celui des ordonnées ; enfin est la proportion suivant laquelle la grandeur de chaque ré-