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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 9.djvu/209

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c’est-à-dire l’équation même de la courbe du contact, dans laquelle une seule des deux constantes et sera arbitraire, l’autre étant déterminée par l’équation même du problème

L’autre équation,

ne sera que du premier ordre et sans constante arbitraire ; mais, étant combinée avec l’équation elle donnera, par l’élimination de une équation entre et qui sera l’équation primitive singulière de cette dernière

Cette équation sera donc le résultat de l’élimination des quantités et entre les quatre équations

Or, en regardant et comme des fonctions de et les équations

résultant des deux premières, donnent ces deux équations primes

donc

de sorte que la dernière équation se réduira à celle-ci,

qui n’est autre chose que l’équation prime de divisée par D’un autre côté, dans la supposition de et variables, il est évident que la fonction prime de n’est pas simplement mais qu’il y faut ajouter les termes dus à la variation de et qui sont en désignant pa et les fonctions primes de prises relativement à et à regardés comme seules variables. Donc, prenant les fonctions primes de l’équation