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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 9.djvu/289

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ment à la dernière des quantités on trouverait nécessairement la même équation que l’on aurait pour le problème dans lequel on supposerait cette même fonction égale à une constante ; c’est de quoi il est facile de se convaincre par l’analyse des nos 20 et 18. En effet, en égalant à zéro la fonction prime de prise relativement à la plus haute des fonctions dérivées on aura la même équation que si l’on prenait, en général, la fonction prime de l’équation

relativement à d’où l’on voit que ces deux genres de problèmes, quoique fort différents dans le fond, conduisent néanmoins aux mêmes résultats et sont, par conséquent, susceptibles des mêmes solutions. Ainsi, on pourra appliquer ici tout ce qui a été dit dans les endroits cités. L’exemple du numéro précédent est, comme l’on voit, un cas particulier de ces mêmes problèmes.


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