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Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/30

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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

Lemercier-Picard et De Boulancy, 518-520. — Recherche et entend Mme Monnier, que Pellieux et Gonse lui ont signalée comme étant la « Dame voilée », 520-521, VI, 341-342, 345. — Se convainc de l’innocence de Dreyfus, III, 522. — Chargé d’instruire l’affaire des fausses dépêches Blanche et Speranza ; entend Picquart pendant plusieurs audiences, 523. — Reçoit et entend Du Paty à son domicile particulier, 525-526. — Cite Esterhazy, 617. — L’entend, 620-621. — Cite Christian Esterhazy, IV, 36. — Se convainc que Marguerite Pays est l’auteur de la dépêche Speranza, 36. — Entend Christian, 36-38. — Porte son instruction à Feuilloley et lui annonce qu’il va signer des mandats d’arrêt contre Esterhazy et la fille Pays ; conflit entre Feuilloley et fui, 38-41. — Perquisitionne chez Marguerite Pays et Esterhazy ; procède à leur arrestation, 41-48. — Instruit contre eux ; la pièce « Bâle-Cuers », 69-72. — Henry délégué pour l’assister dans le dépouillement des papiers saisis chez Esterhazy, 73. — Scène dramatique entre Henry et lui dans son cabinet, 74-77. — Ouverture des scellés ; la « Garde impériale ». Reçoit à nouveau Henry ; interroge Esterhazy et Marguerite Pays, 78-85. — Saisi par Christian d’une plainte en escroquerie contre Esterhazy, 86. — Fait conseiller à Picquart de porter une plainte en faux contre Du Paty, 86. — Reçoit cette plainte, 88. — Exige qu’Henry dépose sous serment, 89. — Invité par Feuilloley à se déclarer incompétent sur la plainte de Picquart contre Du Paty, 91. — Rend son ordonnance et se déclare compétent sur la seconde partie de cette plainte, 92. — Ajourne son ordonnance sur Esterhazy après la décision de la Chambre des mises en accusation au sujet de Du Paty, 93. — Dessaisi de la plainte Picquart contre Du Paty, 96. — Renvoie Esterhazy et la fille Pays devant les assises, 96. — Son ordonnance de renvoi est cassée, 98. — Raconte au docteur Peyrot l’accès de désespoir auquel s’est livré Henry dans son cabinet, 204. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), 436. — Esterhazy saisit la Chambre criminelle d’une requête en suspicion légitime contre lui, 523. — Rejet de cette requête, V, 24. — Sa déposition devant les Chambres réunies, 63 ; devant le Conseil de guerre de Rennes, 392, 397-398. — Interrogé par André au sujet de l’affaire Monnier, VI, 342, note 1.

Besnard, amiral. Ministre de la Marine dans le cabinet Ribot, I, 561. — Ordres donnés par lui lors du départ de Dreyfus pour l’île du Diable, 574. — Ministre de la Marine dans le cabinet Méline, II, 197.

Besse (Pierre-Joseph), capitaine. Renseignements techniques que lui aurait demandés Dreyfus, I, 146, 164 ; V, 391. — Entendu par D’Ormescheville, I, 264. — Son opinion sur Dreyfus, 264-265.

Bessières, commandant. Fait, par ordre de Billot, une démarche auprès de Picquart, à la première audience du procès Zola, III, 373.

Beugnot (Vicomte), commissaire de la Société de steeple-chase. Présente à Loubet les excuses de la commission après les scandales d’Auteuil, V, 117.

Beurdeley, avocat. Signe la protestation en faveur de Picquart, IV, 390, note 2.

Bexon d’Ormescheville. Voir Ormescheville (d’).