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Page:Journal asiatique, série 1, tome 2.djvu/372

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avaient, et que cependant Yao (no. 20) et Chun (no. 21) n’avaient pas ; que les dynasties de Chang (no. 18) et de Tcheou (no. 19) avaient ; et que leurs fondateurs Tang (no. 22) et Wou-wang (no. 23) n’avaient pas ; qui se trouve dans l’ancienne littérature (Kou-wen, no. 24) et qui n’existe pas dans la nouvelle (Kin-wen, no. 25). On répond la bouche (no. 26) qui se trouve dans les noms de Thang, de Iu, de Chang, de Tcheou, et dans le mot kou, et qui ne se trouve pas dans les mots yao, chun, tching, wou, kin.

Du haut en bas, de droite à gauche, deux debout, deux couchés, en tout quatre croix et huit têtes : c’est le caractère Tsing (puits, no. 27), qui satisfait à ces conditions. Remarquez qu’il y a une double équivoque, parce que le caractère qui a la forme d’une croix signifiant dix, on peut lire quarante-huit têtes.

Quel est le caractère qui a quatre bouches et un dix ? Quel est celui qui a quatre, dix et une bouche ? Le premier est thou (carte, no. 28), le second pi (fin, no. 29).

Il y a un caractère qui est l’objet d’un jeu semblable : un trait de plus, il est froid (ping, glace, no. 31) ; deux traits de moins, il est petit (siao, no. 32) ; changez un trait, c’est du bois (mou) ; redressez-le, c’est un ruisseau (tchhouan, no. 28), le second pi (fin, no. 29).. 34). Ce caractère est chouï (eau, no. 30). Il y a un autre petit conte au sujet du même caractère : deux bossus se tournaient le dos, un plaisant vint dresser une perche