Page:Jules Simon - La liberte de conscience, 1872.djvu/137

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avoir longtemps condamnés à vivre dans la loi par le sacrilége[1].



  1. Quand les parents présentaient aux curés des enfants nouveau-nés, ils étaient soumis à une sorte d’inquisition ayant pour but de constater leur catholicité. Une déclaration du 12 mai 1782, enregistrée le 14 au parlement, enjoignit aux curés et vicaires de recevoir au baptême tous les enfants qui seraient présentés, et d’insérer sur les registres les déclarations des parents, sans y rien ajouter.