Page:Jules Simon - La liberte de conscience, 1872.djvu/195

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

l’exil, la prison et la mort, et qu’elles persécutèrent l’Église constitutionnelle en la protégeant, jusqu’au moment où la haine du prêtre prit le dessus, et fit la guerre au principe même de la religion. Ce moment, comme on sait, ne dura que quelques jours.