Aller au contenu

Page:Jules Simon - La liberte de conscience, 1872.djvu/90

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

commises, si est-ce que l’insolence du peuple après sa mort fut telle, que, le corps étant au feu, le tirèrent hors du feu, et le traînèrent depuis l’hôtel de ville jusques au logis dudit chevalier du guet, baillans des coups de bastons sur ledit corps[1]. »



  1. Coll. Michaud, t. VI, p. 687.