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Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/101

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Et passez, et passez sous la lourde relique
Relique au crâne, aux yeux, aux mains
Et puis passez
Aux sempiternels demains
Monotones rongeurs d’éternelle réplique.

Dites-nous vos entités,
Vos blafardes déités.
Vos robustes mentent leur obscurité.
Et puis passez, souffrez, évoquez et mentez.