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Page:Kahn - Premiers Poèmes, 1897.djvu/83

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Assez ! laisse expirer la chanson… mon cœur pleure ;
Un bistre rampe autour des clartés. Solennel
Le silence est monté lentement, il apeure
Les bruits familiers du vague perennel.
Abandonne… que sons et que parfums se taisent !
Rythme mélancolique et poignant !… Oh ! douleur,
Tout est sourd, et grisâtre et s’en va I — Parenthèse,
Ouvres-tu l’infini d’un éternel malheur ?…