Aller au contenu

Page:L’Écho foutromane, 1880.djvu/59

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 45 —


comme la seule route du bonheur terrestre, je ne saurois omettre ce cul divin dont la rondeur de deux fesses bien coupées dans leur juste proportion, bien fermes, bien blanches et bien satinées, font admirer la beauté, soit que le caprice des amans les ait destinées à le mettre en levrette, ou que, par une folie plus bizarre encore, elles soient parfois le siège de la pédérastie, les deux embouchures peu distantes l’une de l’autre présentent des attraits infinis dans les deux genres. Une chute de reins admirable pour en faciliter l’accès, provoque l’introduction virile et l’éjaculation immédiate.

Mademoiselle Pinelli, ornée de tous ces charmes dont je n’ai donné qu’une foible idée, fut dernièrement accostée par Arlequin et Pierrot ; ils sortoient de jouer une farce, et ils étoient prêts à en recommencer une autre : les yeux fripons de la nymphe ne manquèrent pas de produire, un certain effet sur la partie intermédiaire des deux pèlerins ; l’impression fut vive, la donzelle, baissant les yeux, non par pudeur comme certaines gens pourraient être assez simples pour se l’imaginer, mais par une ruse qui la mit à portée de constater l’effet de ses appas sur ces deux personnages ; mademoiselle