Aller au contenu

Page:L’Œuvre du patricien de Venise Giorgio Baffo, 1910.djvu/90

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
78
L’ŒUVRE DE GIORGIO BAFFO

Mais quand la machine
Avance et pénètre,
Et s’insinuant
Par tous les recoins,
Visite le circuit
De cette interne
Et molle caverne,
De toutes les glandes
S’échappe un jet tiède,
Certain suintement
Qui se mêlant à l’autre
Lâché par le mâle,
Fait certaine colle
D’une dulcissime
Composition.


PLAISIR DE SE SATISFAIRE DANS LA BOUCHE

De diverses manières je me suis essayé
À jouir d’une femme à crève-panse :
Tantôt je me la suis appuyée sur le ventre,
Et tantôt j’ai grimpé sur elle.

Parfois je l’ai bulgarisée,
Et ç’a été une excellente affaire ;
Parfois, à l’usance de certains peuples,
Les jambes sur l’épaule je l’ai besognée ;

Tantôt habillée, sur le lit, tantôt debout, et nue,
En levrette je le lui ai mis dans le chas,
Et dans les tétons je lui en ai donné tout plein ;

Mais le plaisir qui me charme le plus,