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Page:L’Œuvre du patricien de Venise Giorgio Baffo, 1910.djvu/91

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L’ŒUVRE DE GIORGIO BAFFO

Que je prise bien plus qu’une simple passade,
C’est quand la femme prend mon cas dans sa bouche.


PLAISIRS DÉSIRÉS PAR L’AUTEUR

Pour mon bonheur il me faudrait sept femmes
Qui toutes nues fussent autour de moi ;
Je voudrais qu’une me léchât le cul,
Que l’autre me prit le cas dans sa bouche ;

J’en voudrais deux autres, sur un matelas,
Où elles se flanqueraient la panse en l’air,
Et je les manierais jusqu’à ce qu’elles jouissent.
Et que j’eusse les deux bras perclus.

J’en voudrais deux autres couchées par terre,
Pour jouir avec les pieds et, de temps en temps,
Leur donner de bonnes frottées sur la moniche ;

Pour que la dernière ne restât pas à l’écart,
Je lui voudrais donner de bonnes lichades,
Puis, lui entrer mon nez dans le cul, en farfouillant.


LE PLAISIR DE JOUIR D’UNE FILLETTE AU LIT

Qui ne sait ce que c’est que de se fourrer au lit
Avec une fillette jeune et avenante,
Qui soit rondelette et savoureuse,
Ne sait pas ce que c’est qu’un plaisir parfait.

Là on jouit de tout bien, de tout charme,