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Page:Latocnaye - Promenade d’un Français dans la Grande Bretagne, 1795.djvu/201

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And, blamless tho’the skilful sculptor’s hand,
Not as a statue but a beacon stand.
Thou ! whom amusement or distemper brings,
To view the pillars, or to taste the springs,
Warn’d by my fate the nauseous draught decline,
The Lord Erector’s regimen be thine,
Abstain from water, and indulge in wine.


Comme ces deux pièces n’ont jamais paru, j’espere que le public me saura gré de les lui faire connaître, et éxcusera même la traduction que je lui en donne en Français.


Oh ! qui que vous soyez, fuyez cette eau cruelle,
Voyez dans quel état, m’a réduit son poison !
J’étais la jeune Hygie ; aimable autant que belle,
Je charmais tous les cœurs — la fatalle boisson,
M’a fait venir difforme, hydropique, et vilaine. —
Oh ! qui que vous soyez, fuyez cette fontaine,
Instruit par mon malheur redoutez son venin,
Imitez mon patron — ne buvez que du vin.


J’invite l’étranger a sortir de sa chambre le dimanche au coup de la cloche, soit pour aller soit pour sortir de l’église, et a se promener le long des trottoirs dans le sens contraire des gens qui s’y rendent ou qui en viennent ; je suis persuadé que l’air dévot du grand nombre de jolies personnes qu’il