Aller au contenu

Page:Leroux - Les Étranges Noces de Rouletabille, 1918.djvu/336

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


XXVI

LA DERNIÈRE AVENTURE DE M. KASBECK



Bravo ! s’écria Rouletabille… alors ne me parle plus jamais d’Athanase ?…

— Ni d’Athanase, ni de Gaulow, ni de Kasbeck, ni de personne !…

— Aïe ! fit Rouletabille… Je crains bien que nous ne parlions encore de ce Kasbeck.

— Pourquoi ?

— Tu vas voir !

Et il se leva, après avoir déposé un chaste baiser sur le front de sa fiancée.

— Il est 5 heures, dit-il très haut.

Et il répéta : « Il est 5 heures… il est 5 heures… » sur un ton de plus en plus élevé.

Alors la tapisserie se releva et l’eunuque qu’il avait déjà vu tout à l’heure, entr’ouvrit la porte devant le fantôme noir de Canendé hanoum. La princesse s’avança, et, froidement, dit à Rouletabille :

— Je dois attendre Kasbeck.

— Dans la lettre que je vous ai remise, répondit