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Page:Lobatchevski - La Théorie des parallèles, 1980.djvu/46

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En substituant ici la valeur (prop. 35)

il vient

étant ici un nombre arbitraire, puisque l’on peut choisir à volonté l’angle du côté avec le côté entre les limites et et par suite entre les limites et on en conclura, en faisant successivement que l’on a, pour toute valeur positive du nombre

Considérons maintenant comme le rapport de deux lignes et et admettons que l’on ait

on trouvera que, pour toute ligne en général, positive ou négative, on a

pouvant être un nombre quelconque plus grand que l’unité, puisque l’on a pour

Comme l’unité qui sert à mesurer les lignes est arbitraire, on peut faire en sorte que représente la base des logarithmes de Neper.

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