Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
168
L’ÂME QUI VIBRE
Et mon âme attendit en se voilant la face.
Pendant que j’absolvais la pénitente en grâce,
Et que l’air frais du soir incitait au repos,
Sainte, elle se plongea dans son ferme propos
En me disant tout bas d’une voix calme et claire :
« Je te demanderais de porter à ma mère
« Ces aveux que, depuis longtemps, je lui devais. »