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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/202

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LA TENDRE CAMARADE

Si l’on n’a pas l’âme portée au romanesque, l’on sait que les fruits magiques sont vendus au marché de Saint-Raphaël et que le dragon est un vieil homme du Midi très doux et qui sent l’ail, et qui lance non du feu, mais une gerbe d’eau, enveloppée d’un arc-en-ciel, par la pomme d’un arrosoir.