Aller au contenu

Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/234

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
224
LA TENDRE CAMARADE

Quand le jardinier est venu me chercher et que je l’ai suivi, il m’a dit :

— Vous voilà toute seule, ce soir, mademoiselle.

Assurément il n’y avait aucune pitié dans sa voix. Il constatait simplement ce fait pour dire quelque chose, mais comme ses paroles ont douloureusement résonné en moi !