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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/264

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LA TENDRE CAMARADE

Et parfois un cri particulièrement profond et humain se mêlait à ces voix confuses. C’était la plainte d’un pauvre petit être perdu dans l’immense forêt, qui cherche sa route, qui a peur et qui pleure, la plainte de Thi-Nam que j’avais abandonnée dans la grande forêt asiatique.