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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/294

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LA TENDRE CAMARADE

Elle se rappelle ses paroles que lui a rapportées Miély : « Le don unique et divin est la volonté constante d’acquérir plus d’intelligence. » Oh non ! ce don n’est pas divin. Il fait trop souffrir. Il est, au contraire, le signe de la malédiction sur la terre pour les pauvres filles comme elle.

Elle jeta le pendentif de jade dans les eaux croupissantes du canal et sans se retourner elle s’en revint vers sa vie.