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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/98

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LA TENDRE CAMARADE

nature violente et qu’il perdait conscience dans la colère.

Je l’ai quitté volontairement, non parce que je le méprisais de vivre de moi, mais parce que je sentais qu’il ne m’aimait pas.

Je ne voudrais pas le rencontrer. Je sais bien que nous ne vivrions plus ensemble, mais je pourrais être tentée de le suivre pour une fois.