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Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 3.djvu/79

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portante ! Si vous n’êtes pas sûr que ce passage existe, ou si vous n’en connaissez pas parfaitement la direction, nous pouvons errer toute la nuit dans ses détours, ou, peut-être,… »

— « Ne m’interrompez plus par de si faibles objections. Je n’ai pas le temps de prêter l’oreille à des craintes que je ne puis ni dissiper ni partager. Si nous arrivons sains et saufs par la trape au jardin un autre danger nous attend. »

Il s’arrêta comme un homme qui veut voir l’effet de la frayeur qu’il vient lui-même de faire naître, non par méchanceté, mais par vanité et pour faire paraître son propre courage plus grand, puisqu’il veut l’affronter. Je gardai le