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Page:Mirecourt - Lamartine.djvu/38

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mante Anglaise. Éprise de la gloire de Lamartine, elle lui sonna son cœur et une dot splendide.

En 1823 parut le second volume des Méditations[1]. Il eut tout le retentissement du premier. On trouva seulement que le royalisme du poëte aurait dû se montrer plus généreux et ne pas récriminer sur la tombe du martyr de Sainte-Hélène.

L’Ode à Bonaparte et le Chant du Sacre décidèrent le gouvernement à offrir la croix à M. de Lamartine.

À cette époque, un de ses oncles mou-

  1. Ce volume contient, comme pièces éminemment remarquables : Sapho, le Poëte mourant, l’Esprit de Dieu, Bonaparte, les Étoiles, une Nuit à Rome, le Crucifix et le Dernier chant du pèlerinage d’Harold.